avant et après
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Ouverture de la salle : 20 h 30 Début
des concerts : 21 h 00
Nous vous demandons de respecter ces horaires, pour le confort de tous ; le
concert ayant commencé, les places réservées sont redistribuées.
Prix des places : voir le tarif indiqué pour chaque concert (demi-tarif pour
les moins de 18 ans)
Attention : le tarif "adhérent" ne sera appliqué que sur présentation
de la carte d'adhésion 2007.
ADHÉSIONS 2007 à JAZZY 77
: 12€
Samedi 13 janvier à 21h
Manda Djinn n’est pas seulement une grande diva du gospel et du jazz. Si elle a parcouru le monde et, est l’une des voix les plus talentueuses du moment, avec une personnalité charismatique qui n’a rien à envier aux autres références du chant féminin que furent ou sont Bessie Smith, Billie Holiday, Sarah Vaughan, Tina Turner, Ella Fitzgerald, Aretha Franklin, Diana Ross, Liz McComb..., elle a un “plus” d’importance pour nous puisqu’elle fut, au début de la création de Jazzy 77, - pour ceux qui ne connaîtraient pas encore la genèse de notre association -, sa marraine. C’est donc avec une grande joie que nous accueillons Manda pour un concert exceptionnel, avec un répertoire de jazz et de blues, qu’elle nous chantera avec sa tonalité mezzo-soprano caractéristique, à la tessiture étendue et au timbre plein de chaleur et de sensualité. Il est presque inutile de dire, au travers d’une présence scénique exceptionnelle et les musiciens de qualité dont elle sait s’entourer, que “la passion qui l’anime et qu’elle partage à chacun de ses concerts, tout autant que son élégance et sa maîtrise vocale bouleversent et séduisent tous ceux qui l’écoutent“. Alors un grand rendez-vous à ne pas manquer.
Chant : Manda Djinn
Gilles Réa : guitare
Basse: Stéphan Boutrit
Batterie: François Réau
Trombone: Jerry Edwards
Entrée : 13 € (adhérents : 10 €)
Samedi 10 février à 21h
Du New-Orleans au Swing, les meilleurs thèmes du Jazz, joués par une formation originale et dynamique. De la musique sur laquelle on danse, et qu’on écoute. Trios, quartets, sextets, grandes formations : la scène du Jazz n’en manque pas. Mais rarement il est donné d’entendre un quintet où tous les thèmes sont arrangés pour deux clarinettes en duo. “Clarinet Connection” réussit cette performance de jouer avec feeling et originalité : ragtimes, classiques de Sidney Bechet et Louis Armstrong, ainsi que les standards de Count Basie, Benny Goodman ou Duke Ellington. La formation, qui se compose de deux clarinettes, une guitare, une contrebasse et une batterie, n’a cessé, depuis sa création en 1979, en France et en Europe, puis aux U.S.A. (de 1982 à 1984), de se produire dans les clubs, comme Le Caveau de la Huchetteou le Petit Journal Saint-Michel,...) ou les festivals (au cours desquels plusieurs prix ont été gagnés), sans oublier des prestations institutionnelles ou privées. Ce sont tous des musiciens de talent et ayant un long parcours musical personnel. Un grand moment, donc, à la Cave du Jazz.
Avec Michel Mardiguian(clarinette),
Jacques Montebruno(clarinette),
Laurent Bajata (guitare),
Claude Quibel (contrebasse) et
Philippe Merville (batterie).
Entrée : 13 € (adhérents : 10 €)
Samedi 10 mars à 21h
En février 2005, la Cave du Jazz avait reçu le Quartette manouche, monté à l’occasion par le clarinettiste Jean- Pierre Vincent, et qui nous avait ravi, avec des musiciens de premiers plans, dont Pierre “Kamlo” Barré, guitariste formé auprès de Jean-Philippe Watremez, Frank Winterstein, accompagnateur recherché qui pratique à la perfection la fameuse “pompe” (dont le rôle rythmique et harmonique constitue la base du style manouche), et Claude Mouton un expert de la contrebasse. Les revoici ce soir, dans leur propre quartette, avec Paul-Marie Barbier au vibraphone. Michel Bedin écrivit dans Jazz Hot ces lignes : Pierre “Kamlo” Barré, qu’on connaît surtout pour l’avoir entendu à la guitare rythmique chez Patrick Saussois, est aussi un remarquable guitariste - chant et compositeur. (...) Une belle section rythmique (…), un vibraphone pour souligner les jolies trouvailles, celui de Paul-Marie Barbier. Tout cela pour un jazz sensible, bien inscrit dans la tradition, mais sachant s’en affranchir. Son interprétation de “Nuages” par exemple est un modèle du genre. Django lui-même aurait adoré cette version, très classique et fort moderne cependant, tout en nuances et en élégance, respectueuse de celui qui l’a composée, sans rien qui ait vieilli. Deux disques superbes ont été gravés dans la version triodu groupe : Salambô et Lejos de mi tierra. Avec :
Pierre “Kamlo” Barré (guitare, vocal),
Franck Winterstein guitare rythmique,
Claude Mouton (contrebasse) et
Paul-Marie Barbier (vibraphone).
Entrée : 13 € (adhérents : 10 €)
Samedi 31mars à 21h
Musicien formé à l’écoute de Fats Waller, d’Errol Garner et surtout Oscar Peterson, auquel il rendra un hommage avec un disque, Philippe Duchemin est une grande personnalité du jazz, un pianiste débordant de vitalité (Télérama), à l’étincelante virtuosité, et avec un sens du swing tout à fait remarquable (Jazz Hot). Il a joué avec le prestigieux Lionel Hampton, et a accompagné des chanteuses américaines telles Spanky Wilson et récemment Mady Gaines. Ne le cherchez pas trop dans les caves parisiennes - il y est parfois, lorsqu’il ne participe pas à une croisière ou à des tournées et festivals à l’étranger, comme cette année, avec le saxophoniste Scott Hamilton. Quant au trio, avec Dano Haider à la guitare et Manuel Marches à la contrebasse, il est qualifié comme étant du jazz de haute volée (Le Télégramme), et les qualificatifs de la presse sont des plus élogieux : “brillant, séduisant, formidable, éblouissant,...” (La Montagne) ; “Fabuleux, époustouflant, grandiose,...” (Sud-Ouest). Alors, qu’ajouter ! À bientôt ! avec :
Philippe Duchemin (piano),
Dano Haider (guitare) et
Manuel Marches (contrebasse).
Entrée : 13 euros (adhérents : 10 euros) -de 18 ans 6€
Samedi 12 mai à 21h
Clarinettiste et chef d’orchestre,
compositeur et arrangeur, Grand Prix du jazz 1997, Maxim Saury s’est imposé,
depuis plus de cinquante ans, comme l’une des grandes figures du style New Orleans.
Avec lui, nous revoici dans la grande époque de Saint-Germain des Prés. Sa passion
pour le jazz, il l’éprouva dès son plus jeune âge, en 1943, en écoutant Django
Reinhardt, avec Hubert Rostaing, à la clarinette, un instrument qui fut un choc
pour lui, tant qu’ il en oublia le piano et le violon, qui l’avaient initié
à la musique. Quant à la suite, flirtant avec les plus grands, de Claude Luter
à Claude Bolling (qui l’engagea en 1947), en passant par Louis Armstrong et
Sidney Bechet (ses deux maîtres), Albert Nicholas, Barney Bigard, Bill Coleman,
Roy Eldrige, Lionel Hampton, Peanuts Holland, Milton Mezzrow, Sammy Price, il
devint l’un d’eux. Fidèle durant de nombreuses années au Caveau de la Huchette,
il créa le New Orleans Sound, un orchestre remarquable, avec un répertoire et
des arrangements qui portent sa griffe. Il fit de nombreuses tournées à l’étranger
et participa aux plus grands festivals français, participa aux émissions télévisées
de Jean-Christophe Averty et apparut dans plusieurs films. Trois dates importantes
dans sa carrière : 1970, lorsqu’il représente, avec Luter, le Jazz français
à Los Angeles pour le 70e anniversaire de Louis Armstrong ; 1976, quand il participe
dans cette même ville et à New-York au bicentenaire de des Etats-Unis d’Amérique
; et 1990, quand il sera distingué “citoyen d’honneur” à la Nouvelle Orléans.
Saury a enregistré nombre de disques permettant d’apprécier son style de clarinette
volubile et élégant.Quant à ses compères de la soirée, les Calligaris, Pierre
et Robin, inutile de les présenter, ils ont déjà enchanté plusieurs soirées
de la Cave du Jazz, avec leur talent incomparable.
Maxim Saury (clarinette), avec
Pierre Calligaris (piano) et
Jean Paul Papaz (washboard).
Entrée : 13 euros (adhérents : 10 euros) -de 18 ans 6€
Samedi 9 juin
à 21h
Harmoniciste et guitariste, chanteur
autodidacte, Sam est précoce : il se retrouve sur scène dès l’âge de 6 ans,
avec Jacques Higelin... Son surnom, “Little Magic Sam”, il le doit à John Lee
Hooker et Willie Dixon, qui le baptisèrent ainsi au début des années 80, lors
d'une soirée au Casino de Paris. C’est le début d’un grand parcours. Adolescent,
il part pour Chicago où il est engagé comme harmoniciste par Big Time Sarah,
et joue également aux côtés de James Cotton, Lonnie et Ronnie Brooks, Jimmie
Johnson, Buddy Guy et Junior Wells, Boney Field etc....Dès son retour, il multiplie
les apparitions avec Luther Allison en Europe, ainsi qu'avec les bluesmen américains
de passage en France. L'année suivante, il repart aux USA où il affine sa technique
avec d'autres grands du Blues : Sunnyland Slim, Eddie Clearwater, Magic Slim
et Lefty Dizz, etc..., et rejoue avec John Lee Hooker. De retour en France,
c’est un musicien riche de ces expériences qui intègre le Luther Allison Band,
avec des tournée en Europe et USA). Durant les années 90, Sam crée son groupe.
Le Chicago "Heart & Soul" Blues est sa référence et si Luther Allison reste
son mentor, il développe son propre style : un blues chaud, soul, rugueux et
métissé. Sam perpétue aujourd’hui ce Chicago Blues que les plus grands lui ont
appris. Il se produit ce soir avec son groupe, composé de musiciens confirmés
et d’expérience.
Little Magic Sam (guitare & vocal),
avec :
Patrick Baldran (guitare & vocal) ;
Jerry Lipkin (clavier) ;
Bruno Baidez (basse) ;
Théo Dule (batterie).
Entrée : 13 euros (adhérents : 10 euros) -de 18 ans 6€
Samedi 1 septembre à 21h
L’origine des Fidgety Feet remonte à 1986. C’est dire qu’ils ont du métier, pour perpétuer ce jazz qu’ils aiment et qui a présidé à la naissance du groupe : le jazz traditionnel mais contemporain de la Nouvelle Orléans, tel qu’il est encore joué aujourd’hui dans le delta et sur les rives du Mississippi. Ils vinrent à la Cave du Jazz de Nanteau en octobre 2002 et à celle de Lorrez en septembre 2005, sous la houlette de Jean-Marie Hurel, membre du bien connu Salamander’s Jazz Band et grand spécialiste du style, qui se ressource régulièrement lors de voyages en Louisianne, en jouant avec ses idoles au New Orleans Jazz and Heritage Festival, et qui nous honore de temps à autre pour faire le “bœuf” avec nos invités. Ce soir, vous pourrez vivre une de ces soirées chaleureuses et chargées d’émotions qui ne se vit que là-bas, down the south coast... Avec :
Jean-Marie Hurel (trompette) ;
Frank Warscotte (saxo ténor et clarinette) ;
Christophe Derret (trombone) ;
Bob Garcia (banjo) ;
Laurent Souques (basse) ;
Michel Senamaud (drums).
Entrée : 13 euros (adhérents : 10 euros) -de 18 ans 6€
Samedi 22 septembre à 21h
Raphaël Faÿs interprète les oeuvres de son maître Django Reinhardt, il est reconnu comme l'héritier surdoué de la tradition. Le style de Raphaël se reconnait quelque soit le language musical, ses compositions personnelles sont l'aboutissement d'une grande maitrise de l'instrument au service d'une grande qualité humaine. Comme Django, il a travaillé le son, la couleur, la profondeur allant aux limites de son instrument avec un souci de la perfection. Raphaël Faÿs se laisse guider par son inspiration, il est capable de toutes les audaces et de toutes les énergies. De la joie, de la nostalgie, de la tendresse, de la sérénité aux débordements, de la réalité à l'évasion. La fougue, parfois la précipitation et le phrasé subtil de Raphaël Faÿs font un mélange étonnat, il démontre son attachement à Django. Dans son répertoire, tous les ryhtmes du style sont interprétés avec brio : Bossa, Boléro, valse, ballade, swing. Raphaël Faÿs, musicien hor pair, est aussi attiré par le Flamenco, il a composé des oeuvres ; Bulérias, Aégrias, Fandango. Le seul guitariste a jouer le Flamenco au médiator, une nouvelle technique très personnelle. Raphaël Faÿs a une sonorité particulièrement marquée, une attaque franche et acérée, un phrasé reconnaissable, un goût prononcé pour les belles mélodies sentimentales et les variations virtuoses en tempo rapide. Ses oeuvres sont toujours construites et mettent en avant le côté narratif et le talent de compositeur du guitariste. Il est désormais considéré mondialement comme l'un des plus grands virtuoses de son temps. Il offre au public une large palette artistique qui subjugue les plus grands connaisseurs. Raphaël Faÿs a sorti deux doubles CD chez Chant du Monde Harmonia Mundi, "Gypsy & Classic", "Django & Classic", un troisième sortira en septembre 2007 "Swing et Classic"
Raphaël Faÿs,
guitare,
Ramon Galan guitare rythmique,
Claude Mouton, contrebasse.
Entrée : 13 euros (adhérents : 10 euros) -de 18 ans 6€
FLAMENCO
AZABACHE DANIEL MANZANAS
Samedi 20 octobre à 21h
Daniel Manzanas compte parmi les musiciens les plus représentatifs du flamenco d’aujourd’hui. Aux confins des racines de l’art et de la mouvance actuelle, sa musique révèle une parfaite connaissance du “toque” traditionnel et témoigne d’un esprit en constante évolution, tourné vers la découverte,et les rencontres. C’est à l’âge de sept ans qu’il fait ses premiers pas dans le monde flamenco, au sens propre comme au figuré, puisqu’il commence par la danse. Il rencontre ainsi Rafael Heredia, alors premier danseur de Carmen Amaya, qui va lui transmettre les fondements de la culture flamenca. De plus en plus attiré par l’aspect musical du flamenco, il entreprend en parallèle l’étude de la guitare et, à seize ans, décide de s’y consacrer exclusivement... Dès lors, à partir de l’expérience d’un premier duo de guitare (“Aqua”, avec Manuel Delgado), puis le “Trio Tinto” (avec Joël Grare et Pablo Gilabert), il s’inscrit dans la programmation de festivals de renom. S’il est compositeur et interprète, Daniel Manzanas est aussi un accompagnateur de danse, reconnu et sollicité par nombre de formations flamencas, des plus traditionnelles aux plus novatrices. Avec son dernier groupe, “Paseo”, avec lequel il a créé l’album “Azabache”, Daniel Manzanas est à l’affiche des plus grandes manifestations de musique flamenca et se produit sur tant sur les scènes françaises qu’internationales. Un grand moment à la Cave du Jazz.
Daniel Manzanas
(guitare), avec :
Estefania Suissa (danse)
;
Pablo Gilabert (chant) ;
Claude Mouton (contrebasse) ;
Edouard Coquard (percussions).
Entrée : 13 euros (adhérents : 10 euros) -de 18 ans 6€
Susanna
Bartilla
Samedi 17 novembre à 21h
Susanna Bartilla est née en Allemagne. Très jeune, elle suivit son père, saxophoniste, dans les clubs de jazz de Berlin, sa ville natale, et fut bercée, chez elle, à la fois par les grandes voix américaines de Frank Sinatra, Ella Fitzgerald et Sarah Vaughan, que par celles allemandes de Marlène Dietrich, Zarah Leander et Hildegard Knef. Jazz et cabaret ! Si Susanna fait des études de chant classique et se produit dans un ensemble vocal baroque, c’est le Jazz qui est son mode d’expression privilégié. Elle se produit régulièrement dans les clubs parisiens et berlinois et vient d’enregistrer un album : So Viel Glück, défini par Jazz Mode Radio comme “un véritable diamant”, et dont Michel Bedin, de Jazz Hot, a écrit : “"Voici un CD remarquable de jazz. Car Susanna swingue avec naturel. Susanna Bartilla, avec sa belle voix de contralto on ne peut plus jazz, veloutée dans les graves et chaleureuse, nous relate ces moments de grâce, ces instants choisis, avec talent et avec une technique affirmée, passant d’une langue à l’autre avec une facilité déconcertante. Susanna Bartilla est une chanteuse avec qui il va falloir compter." Une voix de contralto poignante, du swing et de l'émotion, un phrasé révélant la poésie des paroles : voilà ce que nous propose Susanna Bartilla – “cette sirène soyeuse avec une voix de velours constellée d'étoiles” (dixit Mônia Passos) au travers de son quartette. Que du bonheur, donc, à attendre de cette soirée à la Cave du Jazz !
Susanna Bartilla
(vocal), avec :
Luc Triquet (piano) ;
Claude Mouton (contrebasse) et
Sean Gourley (guitare)
Entrée : 13 euros (adhérents : 10 euros) -de 18 ans 6€
Samedi 15 décembre à 21h
Ce sont de vieux habitués de la Cave, et qui nous avaient proposé en octobre 2005 un duo exceptionnel, alliance jazzy de l’accordéon et de l’orgue Hammond. Ce fut un grand succès. Les revoici pour notre plus grand plaisir. Vous connaissez leur parcours, influencé pour René Sopa par Lucien Galliano, et pour Stefan Patry par Rhoda Scott, musiciens notoires qui leur ont fait découvrir et aimer leur instrument. Ils sont tous deux des amoureux du jazz classique, l’exprimant, en autres, l’un dans des influences latines ou manouches, l’autre au travers du gospel et du blues. C’est donc la rencontre originale de deux sensibilités et de deux instruments, que l’on trouve rarement ensembles mais aux sonorités qui s’harmonisent à merveille, et de deux talents, dont le renom vibre tant en France qu’à l’étranger, dans les clubs et les festivals. Leur duo, qui s’est concrétisé par l’album Hammondeon, sous titré L’été indien, ils le doivent à la Cave du Jazz et à Alain Bois, son président, qui a eut l’idée de leur première rencontre. Une réussite donc et une grande soirée en perspective. Avec :
Stefan Patry
: orgue hammond
René Sopa : accordéon
François Morin : Batterie
Sydney Haddad : percussions
Entrée : 13 euros (adhérents : 10 euros) -de 18 ans 6€
